En déclarant « Tels sont les yeux, tel est le corps »,Hippocrate fut le premier à comprendre que l’observation des yeux reflétaient l’état de santé de la personne examinée. Plus de deux millénaires après, l’iridologie a précisément pour fonction d’interpréter cette zone de projection de l’organisme humain qu’est l’iris de l’oeil.
La cartographie anatomique qui s’inscrit dans l’iris est un révélateur de l’état de santé en fonction de paramètres (tonicité, dépôts, couleur…) qui parlent à l’iridologue.
L’Iridologie de terrain permet en regardant dans la partie colorée de l’oeil, l’iris, de connaître notamment, les prédispositions génético-pathologiques d’un individu.
L’examen irien permet d’effectuer le dépistage d’autres facteurs qui sont :
— l’étude du potentiel vital et énergétique ;
— L’état et la nature des différents encrassements humoro-cellulaires d’origine iatrogène, toxiniques et des dysmétabolismes métaboliques (lipides, acides, etc .), venant encombrer et perturber les sphères de l’organisme
— la vitesse lente ou accélérée du vieillissement des cellules de l’organisme ;
— et d’autres facteurs intéressants, tant sur le plan physique, que biologique, donnant de précieuses indications pour renforcer le terrain individuel, grâce aux différentes biothérapies et conseils hygiéno-diététiques.
L’Iridologie de terrain est née de l’esprit globaliste de la médecine humaine, considérant l’homme dans son ensemble et refusant l’isolement analytique.
cf Iridologie de terrain de JP Lancel – éditions Dangles (2010)